C'est pas la faute au changement d'heure, c'est la faute à Internet.
C'est aussi un peu la faute à mon planning et à un weekend bien chargé, mais surtout la faute à Internet. Alors au lieu de finir la semaine par un kiwi, on va la démarrer !
La vie c'est pas un kiwi donc quand j'ai une relation suivie et chaotique avec SFR. C'était trop beau que ça marche comme ça tout de suite, du premier coup. Il se trouve que d'après ce que j'ai compris suite à mes interminables coups de fil avec les service technique NIVEAU 2 (c'est pour te dire la complexité de l'affaire), un autre abonné et moi partageons la même ligne... J'ai pas tout compris mais toujours est-il que je n'ai plus de connexion à la maison, ni de téléphone, que le décodeur TV reste hermétique à mes coups de zapette et que je suis un peu coupée du monde virtuel... J'attends un appel de France Telecom qui doit venir démêler les fils... On n'a pas le cul sorti des ronces (et ça pique).
Bref, les publications risquent d'être un peu anarchiques dans les prochaines semaines, j'espère que tu ne m'en voudras pas.
La vie c'est un kiwi quand j'ai eu l'honneur de voir ma p'tite histoire sélectionnée pour la première édition du Club des Blogueurs Lecteurs initié par Cléophis. Elle choisit un livre et propose à d'autres blogueuses de le lire et d'en faire leur critique.... Je t'avoue que j'ai vécu ces dernières semaines un peu tiraillée entre l'impatience de les lire et l'appréhension de ne pas avoir su les toucher...
D'autres critiques devraient être publiées cette semaine...
Merci beaucoup !
La vie c'est un kiwi quand je suis ressortie presque indemne de mes deux carnavals de weekend... Un coup de soleil (alors qu'on n'a pas vu le soleil, les UV sont vraiment fourbes), une impossibilité de bouger en fin de journée samedi après-midi mais finalement, juste quelques courbatures dimanche. C'était top ! J'ai bouffé des confettis en essayant de ne pas fusiller du regard les gosses qui te les lancent dans la figure (c'est un peu le concept du carnaval mais le confetti, je trouve ça insipide) (et ensuite, j'essaye tout le temps de souffler sur mon tee-shirt pour les enlever parce que ça m'agace ces trucs qui ne sont pas assortis) (et j'ose pas penser à ceux que j'ai dans le dos). La batucada, c'est mon grand kiff à moi, taper fort sur mon surdo, avoir le cul qui tortille tout le temps parce que ça donne envie de danser, j'adore ! Mon groupe, c'est Surdo'Rei, et c'est géant !
La vie c'est un kiwi quand vendredi, je suis allée me faire papouiller. J'avais eu en cadeau de Noël par le CE un bon pour un soin dans un Institut : hammam, gommage au savon noir et massage. Hmmmmm, ça faisait du bien... mais faut que je te raconte en détail donc on voit ça dans un prochain billet, ok ? ;-)
La vie c'est pas un kiwi quand mon four est mort. J'avais bien compris qu'il y avait un truc qui déconnait quand lorsque j'avais voulu le mettre en route, ça faisait sauter toutes les lumières... Après avoir consulté le gars chez qui Papa l'a acheté, c'est mort. Faut que j'en trouve une autre.... Pfff....
La vie c'est pas un kiwi quand mon p'tit chou a eu un très gros coup de mou la semaine dernière, à base de crise de larmes ininterrompues. On a parlé, ça va un peu mieux. Je m'étends pas sur le sujet mais je suis préoccupée. Il va aussi aller parler "à quelqu'un" parce que je crois qu'il a surtout besoin de se confier à une oreille neutre (ni moi, ni son père, ni ses grands-mères, un peu ses copains mais surtout quelqu'un d'autre). Je crois qu'il faut ça sorte, qu'à un moment, on a le droit de pleurer sur la séparation de ses parents, même si on est un grand costaud de 18 ans....
La vie c'est un kiwi quand après avoir été me faire gratouiller les pieds chez la pédicure, je suis en mesure de dire qu'il aura bien fallu presque un an pour ne plus voir les traces de mon ongle blessé... Il reste encore une marque sur l'ongle mais le mois prochain, on pourra dire que c'est du passé ! La vache, c'était quand même costaud cette histoire...
Du coup, j'ai remis du joli vernis rouge et j'entends mes sandales frétiller dans leurs boites. Patience mes jolies, patience, fais encore un peu frais le matin et mes mollets hésitent à sortir tout nus.
Allez, des bises.